Un matin d'été
j'était une petite peluche,si petite que je tenai dans ta poche
une boule de poil que tu as chouchouter, calinée
je te fesais rire dans mes cabrioles, mes courses folles
au travers du jardin.
Nombreuse les chaussures que j'ai put te dévorer
les pipis dans la maison, mais jamais non jamais tu n'as eu envers moi
un geste de brutalité.
J'ai grandit, grandit peu etre un peu trop a ton gout
tes caresses se sont faite si rares
tu n'avait plus la meme attention vers moi
mais je t'aimais oh oui je t'aimais toi mon maître vénéré.
Puis par un matin d'été je t'ai vu prendre ma laisse
chose que tu n'avait plus fait depuis lontemps
j'était heureux ,j'était aux ange enfin un peu d'attention.
Tu m'as mis dans la voiture
et t'es dirigé vers un bois loin de la maison.
Tu t'es arrété sur le bas côté ma pris avec la laisse et entré dans le bois
et la tu m'as attaché au pied d'un arbre
puis tu t'es éloigné avec tristesse je t'es regarder partir
je venais de comprendre
car tu venais lachement de m'abadonner pourquoi???
Je ne sais pas, je suis rester ainsi la pendant des jours à pleurer.
La soif ,la faim me tenailler horriblement
et toi tu n'était pas la pour t'occuper de moi.
Lorsque l'on me retrouva, je n'était plus qu'un chien mourrant.
Doucement je senti que l'on me prenai dans les bras
et de nouveau on m'enmener .
Dans la piece ou l'on m'avait transporter je sentai la mort,
une main fémine me carressa tendrement
je vit une larme couler de ces yeux et de sa douce voix elle me dit:
"je suis désolée, je ne peu plus rien faire pour toi"
Elle me pris la patte je senti l'aiguille rentré
un liquide coula dans mes veines et je parti dans une douce torpeur
et cette main qui comme pour me réconforter dans la mort
continuai de me carrésser,
c'est a ce moment qu'une larme coula sur mon museau
et la derniere pensée que je put avoir ne fut que pour toi mon maître
mon bien aimé .
pense ca de vous son ami(e) qu'il aime plus que tous
et rendez vous compte à quel point vous lui brisez son coeur
cela est intolérable.
Mon Dieu Mon Dieu Mon dieu.
Je n'ai pas de chien et je n'aime pas tellement ces ptites bêtes, mais je ne comprend pas comment on peut abandonner son animal. Déjà rien qu'un jour sans mes rats j'ai les larmes aux yeux, je peux même pas imaginer le fait de ne pas m'occuper d'aux, alors s'occuper d'un animal puis aller l'abandonner...
C'en est gerbant!